mercredi 11 avril 2012

Bifff 30: Jour 6.

Où l'on assiste au strip-tease de Julie Gayet (en 3D !).

Oui, certes, nous connûmes des retards.
Mais admettons aujourd'hui qu'ils fûrent une fois de plus détérminés par la Stib sa grève qui dûre depuis maintenant... oh ! et plus encore... Et qui sème largement le chaos dans le trafic bruxellois (ké bordel, aujourd'hui, minga ! Rien qui bougeait sur la Petite Ceinture !).

Et qu'ils empêchèrent donc l'invitée du jour, la magnifique Julie Gayet, d'arriver à heure et à temps.

Enormément lui sera quand même pardonné car beeeeeeeeeeeelle... beeeeeeeeeeeelle...
Encore plus belle en vrai que sur écran, d'ailleurs.

Et qu'en plus, elle a joué le jeu du Bifff d'une manière étonnante et inédite... et plutôt plaisante à l'oeil.

A l'injonction "à poil !"... Eh bien figurez-vous qu'elle l'a fait.
Ou presque.
Oui, certes, elle a gardé le bas.
Mais elle s'est quand même retrouvée en sous-tif sur scène. Faut le faire, quand même ! Non ?

Le plus fort étant qu'elle obtempéra également au deuxième commandement et qu'elle chanta "Le Tourbillon" d'une fort jolie façon ma foi.

Donc, des invités pareils, on en redemandera !

Les films, par contre...

- La Cascade du Jour: pas de cascade du jour à proprement parler, si ce n'est l'habituel retard à l'allumage au film de 20h.
Ah oui: et sortis du schéma "baston" du début, les courts du Collectifff deviennent vraiment intéressants ("L'Enfer du Décor", "Rorschach"... Au moins c'est écrit, quoi.).

Rires. Applaudissements. Rideau.

12. "Carré Blanc" de Jean-Baptiste Leonetti (F).
Dans un monde futuriste déshumanisé, Philippe et Marie, deux orphelins, ont fini par se marier. Lui est devenu un cadre froid, cruel et implacable. Elle essaye de recoller ensemble les pièces de leur amour.
Une sorte de "THX 1138" ultra-ultra-ultra-cheap.
Et c'est dommage, parce que l'idée de départ est intéressante. Et le traitement aussi, quelque part...
Mais il n'y a tellement pas de moyens qu'on décroche. D'autant que le scénario est décousu, manque de liant...
Quelques scènes intéressantes malgré tout. Et deux acteurs visiblement très impliqués.
Mais bon... Ca ne suffit pas forcément.
Enfin là, en tout cas...

Cote: **

13. "Tormented" (Rabitto Hôra) de Takashi Shimizu (J).
Le brave Daigo, après avoir abrégé les souffrances d'un lapin blessé, se trouve en butte aux tracasseries de ses camarades de classe, sèche l'école et se réfugie auprès de sa grande soeur muette. Bientôt, ses rêves vont se retrouver hantés... par un lapin blanc géant !
Largement ce que j'ai vu de pire jusqu'ici. Un brol chiant, sans queue ni tête et incompéhensible, pas aidé par une 3D qui une fois de plus est moche et ne marche pas et une photo ultra-sombre qui achève de rendre le truc absolument illisible.
A dégager, et en vitesse !!!!

Cote: °

Ce soir: "Game of Werewolves" et "Bloodwork".
Demain: "Killer Joe" et "Juan of the Dead".

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