La faute à Séraphine!
On l'aura constaté, je n'ai pas beaucoup de temps à consacrer au blog pour le moment.
Les critiques de "Benjamin Button", "The Wrestler" et autres "Ché" devront donc attendre encore un peu.
Enfin, pas trop longtemps quand même histoire de ne pas les poster après leur sortie en DVD mais bon, voila.
On fait ce qu'on peut, on est pas des boeufs, hein.
En plus, vu les sorties qui se pointent à l'horizon (et j'ai toujours pas vu "Gran Torino" ou "Harvey Milk"...) ça devrait pas aller en s'améliorant.
Ké misère!
En attendant jetons donc un coup d'oeil furtif sur la cérémonie des Césars qui, on s'en doute, m'a nettement moins réussi que celle des Oscars avec un malheureux 4 et demi sur onze (le demi point venant de l'outsider Marc-André Grondin, lauréat du César du Meilleur Espoir Masculin).
La faute en incombe à "Séraphine", le film de Martin Provost que personne n'attendait et qui s'est payé le luxe de rafler ni plus ni moins que 7 statuettes, didju!
Dont celles de Meilleur Film et de Meilleure Actrice (la seconde pour Yolande Moreau dans cette catégorie).
Alors, oui, donc à part ça, cocorico puisque outre la brave Yolande une autre belge a été distinguée en la personne de Deborah François (Meilleur Espoir Féminin pour "Le Premier Jour du Reste de ta Vie").
Rayon acteurs, heureusement pas de surprises avec les attendus Cassel et Roussillon.
Sinon, que dire?
Que je suis bien content pour Philippe Claudel (Meilleure Première Oeuvre) et surpris par le manque de retour accordé à "Entre les Murs" (un seul César, celui de l'adaptation)...
Pour le reste, vous avez déjà tout vu tout lu sur cette fort terne cérémonie (Antoine de Caunes était limite pathétique) donc on va pas en remettre trois couches et si vous y tenez, vous pouvez toujours aller là pour consulter le palmarès complet.
Et à l'année prochaine.
On l'aura constaté, je n'ai pas beaucoup de temps à consacrer au blog pour le moment.
Les critiques de "Benjamin Button", "The Wrestler" et autres "Ché" devront donc attendre encore un peu.
Enfin, pas trop longtemps quand même histoire de ne pas les poster après leur sortie en DVD mais bon, voila.
On fait ce qu'on peut, on est pas des boeufs, hein.
En plus, vu les sorties qui se pointent à l'horizon (et j'ai toujours pas vu "Gran Torino" ou "Harvey Milk"...) ça devrait pas aller en s'améliorant.
Ké misère!
En attendant jetons donc un coup d'oeil furtif sur la cérémonie des Césars qui, on s'en doute, m'a nettement moins réussi que celle des Oscars avec un malheureux 4 et demi sur onze (le demi point venant de l'outsider Marc-André Grondin, lauréat du César du Meilleur Espoir Masculin).
La faute en incombe à "Séraphine", le film de Martin Provost que personne n'attendait et qui s'est payé le luxe de rafler ni plus ni moins que 7 statuettes, didju!
Dont celles de Meilleur Film et de Meilleure Actrice (la seconde pour Yolande Moreau dans cette catégorie).
Alors, oui, donc à part ça, cocorico puisque outre la brave Yolande une autre belge a été distinguée en la personne de Deborah François (Meilleur Espoir Féminin pour "Le Premier Jour du Reste de ta Vie").
Rayon acteurs, heureusement pas de surprises avec les attendus Cassel et Roussillon.
Sinon, que dire?
Que je suis bien content pour Philippe Claudel (Meilleure Première Oeuvre) et surpris par le manque de retour accordé à "Entre les Murs" (un seul César, celui de l'adaptation)...
Pour le reste, vous avez déjà tout vu tout lu sur cette fort terne cérémonie (Antoine de Caunes était limite pathétique) donc on va pas en remettre trois couches et si vous y tenez, vous pouvez toujours aller là pour consulter le palmarès complet.
Et à l'année prochaine.
1 commentaire:
C'est pas grave vieux punk,les César tout le monde s'en bas les couilles généralement
Enregistrer un commentaire