Un discours, un discours !
Oui, oh bon... Ca va, hein... Je fatigue, moi, à la fin...
Bon, donc, pour le deuxième raout on va faire court. N'ayant pas vu la cérémonie je n'ai pas grand chose à en dire.
Si ce n'est que, comme d'hab, les Oscars, plus prévisibles, sans doute, amérikis obligent, me font faire un score plus important que les César au petit jeu des pronostics (soit 6/8, ce qui est quand même pas mal, avouez-le).
Le problème, ici, vient de ce que "Le Discours d'un Roi" a choppé les deux récompenses principales là où on attendait "The Social Network".
Erreur de calcul de ma part: j'aurais du me douter qu'un film en costume de facture classique, donnant qui plus est à son acteur principal un rôle "à canne" (ici, le béguaiement dont il est affligé) allait s'attirer les faveurs des votants, l'Académie adorant les histoires édifiantes où le héros, handicapé quelle que soit la manière, triomphe à la fin...
Ah la la...
Cela dit, ici non plus celà ne présume pas de la qualité d'un film que je viens de voir et qui, classique ou pas, est très clairement excellent (d'autant que bâti sur un argument d'une minceur éloquente - si je puis me permettre cette analogie).
Pour le reste, rien à signaler, que du téléphoné, vous n'avez qu'à vérifier mes prévisions. J'ai tout bon.
Et je suis très content pour Colin Firth, Natalie Portman et Christian Bale qui sont clairement des acteurs que j'apprécie, pour ne pas dire plus. Oui, oui...
Sinon, il parait que c'était la Cérémonie la plus rasante et mal fagotée de l'histoire récente des Oscars...
On s'en fout. Vous avez vu l'heure à laquelle ça passe ?
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