Nos plus belles années...
Ah la la! Y a pas à dire, ça commence à sentir le sapin...
Ce n'est que logique mais ça fout quand même les boules, allez: les représentants de l'Age d'Or du cinéma américain (le seul, le vrai, celui des années 70, faut-il encore vous le rappeler?) commencent à avoir l'âge de leurs artères et, les uns après les autres, se mettent tout doucement à passer l'arme à gauche...
Dix ans déjà que Pakula nous a quitté, certes, mais là ça s'accelère...
Après Stuart Rosenberg et, côté acteurs, l'immense Roy Scheider (shame on me de ne pas avoir fait de billet à l'occasion de sa mort, d'ailleurs) voici donc que ce bon Sydney-le-Polonais casse à son tour sa pipe (je vous en prie).
Certes, le gaillard aura réalisé une palanquée de films de la main gauche, surtout dans ses dernières années ("L'Interprète", "L'Ombre d'un Soupçon", "Sabrina", bref, tout depuis "La Firme", en gros...) mais peut-on pour autant oublier son western naturaliste ("Jeremiah Johnson"), ses thrillers paranoïaques ("Les Trois Jours du Condor", ...) ou même son étude de l'éthique en matière de journalisme ("Absence de Malice", pourtant interprété par la pire actrice au monde, à savoir Sally Field)?...
Oublions donc le baveux "Out of Africa", pour ne retenir de lui que l'essentiel: que c'était l'un des rares réalisateurs de cette époque à avoir maitrisé à peu près tous les genres, qu'il était en plus un acteur attachant...
...Et qu'il avait réalisé "On Achève Bien les Chevaux", Nom de Tcheu!
Ah la la! Y a pas à dire, ça commence à sentir le sapin...
Ce n'est que logique mais ça fout quand même les boules, allez: les représentants de l'Age d'Or du cinéma américain (le seul, le vrai, celui des années 70, faut-il encore vous le rappeler?) commencent à avoir l'âge de leurs artères et, les uns après les autres, se mettent tout doucement à passer l'arme à gauche...
Dix ans déjà que Pakula nous a quitté, certes, mais là ça s'accelère...
Après Stuart Rosenberg et, côté acteurs, l'immense Roy Scheider (shame on me de ne pas avoir fait de billet à l'occasion de sa mort, d'ailleurs) voici donc que ce bon Sydney-le-Polonais casse à son tour sa pipe (je vous en prie).
Certes, le gaillard aura réalisé une palanquée de films de la main gauche, surtout dans ses dernières années ("L'Interprète", "L'Ombre d'un Soupçon", "Sabrina", bref, tout depuis "La Firme", en gros...) mais peut-on pour autant oublier son western naturaliste ("Jeremiah Johnson"), ses thrillers paranoïaques ("Les Trois Jours du Condor", ...) ou même son étude de l'éthique en matière de journalisme ("Absence de Malice", pourtant interprété par la pire actrice au monde, à savoir Sally Field)?...
Oublions donc le baveux "Out of Africa", pour ne retenir de lui que l'essentiel: que c'était l'un des rares réalisateurs de cette époque à avoir maitrisé à peu près tous les genres, qu'il était en plus un acteur attachant...
...Et qu'il avait réalisé "On Achève Bien les Chevaux", Nom de Tcheu!
4 commentaires:
Et oui tous les grands se cassent la pipe , c'est un peu logique vu qu'ils sont quand meme vachement plus vieux que nous mais bon that's life et puis il y a toujours le vieux Kirk Douglas au moins 120 ans increvable celui-là
Et Eli Wallach!
Eli Wallach est mort,si je mabuse
Tu t'abuses.
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