Sale temps pour les mouches!
Tetcheu! Tetcheu! Tetcheu!
Quand je disais que c'était un été de merde!
Une année de merde pour le cinoche, surtout...
Après Philippe Noiret, Jean-Pierre Cassel et Jean-Claude Brialy et quelques jours seulement après le décès d'Ulrich Mühe (le héros de l'excellent "La Vie des Autres" de Florian Henckel von Donnermarck et réguliers des films de Haneke) v'la-t-y pas qu'on perd coup sur coup Michel Serrault et Ingmar Bergman!
Faut que ça s'arrête, hein...
Bon, pour ce qui est du second je ne vais pas faire de mon fafoule...
Y a rien à faire mais, comme pour Theo Angelopoulos (ça n'a rien à voir mais c'est probablement l'autre cinéaste "classique" dont l'oeuvre restera à jamais un mystère pour moi) son cinéma, plastiquement sidérant mais à mes yeux profondément imbitable et chiantissime, ne fera jamais partie de mon univers.
Ce n'est pas pour autant que je ne respecte pas l'homme et l'oeuvre et que je ne reconnais pas leur importance évidente pour l'Histoire du Cinéma.
Mais bon, voilà... Pouf, pouf, hein, comme on dit...
Serrault c'est évidemment tout à fait autre chose...
On ne va pas s'étendre dans le genre "gngnagna, Grand Monsieur du Cinéma... Il savait tout jouer, machin... Monstre Sacré, prout prout..." etc. mais finalement on n'en pense pas moins, hein?
Outre sa filmographie où se cotoient "La Cage aux Folles" et les films de Blier, "C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule" et "Garde à Vue", Sautet et Robert Lamoureux, Guitry et Raoul André, on se souviendra aussi de la manière dont il avait défendu bec et ongles "Assassin(s)" de Mathieu Kassovitz, descendu en flammes lors de sa sortie, ou de ses hilarantes apparitions télévisées (faisant chanter "Mon frère était vétérinaire" à l'audience amidonnée de "Champs Elysées", par exemple).
Un grand comédien, sûrement, un grand monsieur aussi, sans doute...
Et puis, après le départ de Noiret et de quelques autres, on ne poura que s'attrister de la disparition d'un de ces visages devenus au fil du temps et des sempiternelles rediffusions télévisées quelque chose de plus qu'un simple acteur.
Une sorte d'ami de la famille...
Et maudire chaque jour un peu plus ce putain de temps qui passe...
Bordel!
Un grand comédien, sûrement, un grand monsieur aussi, sans doute...
Et puis, après le départ de Noiret et de quelques autres, on ne poura que s'attrister de la disparition d'un de ces visages devenus au fil du temps et des sempiternelles rediffusions télévisées quelque chose de plus qu'un simple acteur.
Une sorte d'ami de la famille...
Et maudire chaque jour un peu plus ce putain de temps qui passe...
Bordel!
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